Près de 180 spectateurs ont assisté à une soirée de concerts à la salle des fêtes de Saint-Claude-de-Diray, organisée par l’équipe municipale, dans le cadre de Festillésime 41.
Local de l’étape, Mathis Poulin est le premier à prendre possession de la scène. Son set est axé sur des titres de l’album EP « Nouvelle Saison », parfaitement maîtrisés. Se produisant en trio, il bénéficie du soutien de Claire Vervier qui assure un accompagnement soyeux (guitare et harmonies) et du percussionniste Baptiste Gauthier, véritable métronome.
Le dress-code des musiciens de Skawax permet de les reconnaître instantanément. En effet, les sept amis portent tous une chemise noire complétée par une cravate rouge et noire, couleurs que l’on retrouve par ailleurs sur la pochette du dernier album « Un peu d’humanité ». La musique de Skawax est résolument festive, nourrie de diverses influences : ska, reggae, rock et salsa. Dotée d’une puissante section rythmique et de cuivres, la formation distille sa bonne humeur en faisant chanter et danser le public. Très en voix, Môssieur Alex chante les galères du quotidien (« La loose », « Pouvoir »), le sort des plus démunis (« La légion », « Sans papiers ») et les impasses des « Rézo sociaux ». Comme à chaque concert de Skawax, « La Bretagne » fait sensation, à tel point que le morceau est rejoué en ultime rappel.

Malgré un temps maussade, le festival “ O Val de l’Indre ” a accueilli pour cette troisième édition, plusieurs centaines de personnes, ce samedi après-midi.

Le festival « O Val de l’Indre » a la particularité de changer de commune tous les ans. Il se déroulait cette année à Artannes, de 13 h à minuit, dans la prairie des bords de l’Indre.
L’association Backline qui prépare depuis plusieurs mois cette manifestation avec la communauté de communes Touraine Vallée de l’Indre était aidée de nombreux bénévoles, qui ont installé un grand chapiteau destiné à accueillir le concert du soir et différents stands : restauration avec le basket, crêpes, exposition sur les lavoirs et jeux d’eau musicaux.

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Le président de la communauté de communes, Alain Esnault a souligné la particularité de ce festival culturel qui célèbre l’eau qui coule dans cette belle vallée de l’Indre.
La journée s’est terminée vers minuit, après le concert de musique donné par le chanteur Arri Gony et de la chanson française avec Ni Queue ni Tête et Skawax.

Dernièrement avait lieu à la piscine de Mer le repas concert du groupe Skawax, composé de sept membres, Alex, Benjamin, Sylvain, Guillaume, Cindy, Nico et Thibaud. Le groupe, originaire de Saint-Gervais-la-Forêt, a été fondé en 2013. Audrey, sa présidente, souligne qu’il est très influencé « par les styles ska, reggae et rock festif, avec des textes toujours engagés et en français uniquement ».
En cinq ans d’existence, Skawax a déjà donné plus de quatre-vingts concerts dans toute la France et a à son actif un premier album neuf titres intitulé « L’autre rive », sorti en 2014 ; un EP cinq titres, « Inconsciences », sorti en 2015 ; un clip, « Légion » en 2016 et un nouvel album, « Un peu d’humanité » cette année.
La notoriété grandissante de Skawax est sans aucun doute due à son style musical, des refrains entraînants et un travail approfondi, la recherche de nouveaux arrangements, des jeux de scènes étudiés qui s’ajoutent aux répétitions hebdomadaires qui permettent au groupe de ravir les spectateurs. Solène, une fan, indique : « Je viens voir jouer le groupe dès que je peux, j’adore l’énergie qu’ils dégagent, et surtout leurs textes profonds et une interprétation explosive. »Add Testimonial here

La deuxième édition du festival Ska Buz aura lieu vendredi 15 et samedi 16 juin, au stade municipal de la Tête-noire de Buzançais.
On se rappelle encore le succès remporté l’année dernière par la première édition de cet événement où les festivaliers étaient venus très nombreux. Ce premier succès et le prochain, programmé pour ce week-end, tient à la motivation d’un petit groupe de passionnés qui ont créé une association, T’A’Buz : Victor Étienne, président ; Martin Coatrieux, vice-président ; Sébastien Limbert, secrétaire, et Sabrina Feignon, trésorière, et quelques amis.
Leur point commun : la musique. Comme le fait remarquer Victor Étienne : « Très souvent, nous allons dans des festivals un peu partout en France et l’idée a été de faire découvrir ces musiques et des artistes chez nous, avec le festival Ska Buz ».
Pour cette deuxième édition, l’équipe de T’A’Buz a décidé de créer une nouvelle animation, cette fois-ci gastronomique, avec création d’une galette « bretonne-berrichonne » parrainée par Jérôme Briard, membre du collectif 13, et dont quatre recettes seront proposées. 
Pour donner encore plus de saveur bretonne, l’équipe a invité trois groupes bretons, Le P’tit Son, Babakar et DJ Baz, qui se produiront sur ces deux soirs. D’autres groupes viendront compléter ce plateau avec, entre autres, Atomic Spliff, qui arrive de Belgique ; La Caravane, de Paris ; Skawax, de Blis ; Roger Latcheup, de Bourges, ou encore plus près de chez nous, Fernand, qui reprend les plus grands succès de Brel revisités. Pour ce deuxième Ska Buz, les organisateurs qui souhaitent proposer une offre musicale de qualité, ont misé sur l’ensemble de ces groupes pour faire découvrir au public indrien un cocktail de musique reggae, ska, hip-hop et musiques du monde.
Des animations sont également prévues : sensibilisation sur les méfaits de l’alcool et des stupéfiants, avec la Sécurité routière ; atelier environnemental ; atelier sur la prévention du VIH, avec Alis 36, sans oublier le match de l’équipe de France de football contre l’Australie, samedi, qui sera diffusé sur grand écran, au camping municipal, pour l’ensemble des festivaliers présents sur ces deux jours.
Vendredi, à partir de 20 h : Scars, Selecta Antwan, Skawax, Volodia, Roger Latcheup et DJ.Baz. Entrée : 10 €. Samedi, à partir de 19 h : Fernand, Daddy Mory de Raggasonic, Le P’tit Son, Atomic Spliff, La Caravane Passe et Babakar. Entrée : 13 €. Pass pour les deux jours : 20 €. Contact : www.skabuz.fr

Mercredi 2 décembre, les Pères Noël des Rockeurs ont du cœur sont arrivés devant le Secours populaire chargés d'une hotte débordant de jouets. Le samedi précédent, les spectateurs du concert des deux groupes Kitsch'n Destroyed et Skawax avaient été invités à apporter un jouet neuf en guise de ticket d'entrée.

Plus de 90 personnes se sont pressées au Centre Léo-Lagrange Gentiana et 120 jouets ont ainsi été récoltés, les musiciens et les techniciens ayant également participé à cette action de solidarité.
David Baez, coordinateur des actions culturelles du Centre Léo-Lagrange, s'est dit « ravi de cet événement qui a été une belle réussite et qui a atteint les trois objectifs du centre socioculturel : la solidarité, la programmation culturelle de proximité et le maillage fédérateur entre les différentes associations ». Loïc Vitel, président de Chapauprog, association très active qui organise des événements culturels et qui soutient la culture locale, ainsi que Thierry Imbert, son administrateur, insistent sur le bénévolat des artistes locaux, sur scène et en bas de la scène, qui se sont tous mobilisés au profit des enfants défavorisés.
Françoise Ferrand, de l'antenne de Tours-Nord du Secours populaire, va maintenant organiser une bourse aux jouets le 19 décembre et distribuer les cadeaux aux enfants lors des arbres de Noël des associations.

Les rockeurs ont encore du cœur

L'équipe du Centre Léo-Lagrange, l'équipe de l'association Chapau Prog, des artistes locaux, assistés techniquement de l'association Backline, vont revêtir leurs fringues des Rockeurs ont du cœur lesamedi 28 novembre à partir de 20 h, à l'espace Léo-Lagrange Gentiana.
Ils donnent un coup de main au Père Noël et proposent sur scène Kitsch'N Destroyed (glam, heavy, hair metal) et Skawax (ska, rock festif). Cette soirée concert a pour but d'offrir des jouets neufs aux enfants pour Noël, au profit du Secours populaire.
Le public est invité à revêtir ses fringues de Rockeurs ont du Cœur avec un jouet neuf pour une entrée. Les Rockeurs ont du Cœur et vous aussi… Espace Gentiana, 90, avenue Maginot à Tours.
 

Avec 8.000 euros de recette, la soirée de solidarité aux réfugiés organisée samedi par la Maison de Bégon et Roxette a été un énorme succès.

Un beau projet, une belle soirée, une belle collecte ! En cette période douloureuse, il y a encore des gens qui croient en nos valeurs et cela fait chaud au cœur ! Christelle Leclerc, présidente de la Maison de Bégon, ne cache pas sa joie. Organisée avec l'association Roxette, la soirée de solidarité pour les réfugiés est un succès. Avec plus de quatre cents entrées payantes, la restauration, et des dons de commerçants, la recette est coquette. « D'autant que beaucoup ont donné davantage que le prix du billet sans même réclamer de justificatif pour les impôts » précise Christelle tout en constatant la grande diversité du public.

Pour la musique et pour la cause

Certains sont passés rapidement pour verser leur obole. D'autres comme Yvette et Daniel, ou Annick et Dominique, n'ont pas hésité à faire des kilomètres « à la fois pour la musique et pour la cause. » Tous sont emballés par Skawax qui a ouvert la soirée. « Avec ses trois cuivres, c'est vachement pêchu ! » Et ils attendent avec enthousiasme la suite. Zographi, Christian Kibongui, Les Sharpers et Tayazabeu sont à l'affiche. Tommy, Héléna et leur bande de copains suivent depuis ses débuts le groupe Skawax. « De toute façon, moi je serais venue pour le concept. Il y a beaucoup de critiques sur les immigrés et je n'aime pas ça du tout ! » affirme Héléna du haut de ses 15 ans. Justement, avec ses trente ans d'engagement à Amnesty International, Denys Robiliard était invité pour donner son point de vue de juriste. Et apporter quelques chiffres aussi. « 60.000 demandeurs d'asile par an, c'est 0,1 % de la population française. Arrêtons de dire qu'on est envahis. Il n'y a rien de plus erroné ! » assène-t-il. Des propos qui viennent conforter l'engagement de l'association Roxette. « Ce soir, ce n'est pas nous qui parlons, mais notre fibre humaine. Ce que nous souhaitons, c'est que nos initiatives soient reprises. En tout cas, c'est super de faire vivre la solidarité ainsi. Il y a beaucoup de jeunes, c'est l'avenir et c'est bien » souligne Jean-Luc Guilloizeau. « Ce soir, tout le monde a laissé parler son cœur. »

Cor.NR : Monique Cabourg

Émus par le sort des réfugiés et autres demandeurs d’asile, Bégon et l’association Roxette s’unissent pour un grand concert le 7 novembre à Blois. Nous disons réfugiés ET demandeurs d'asile, parce que nous ne voulons pas négliger des gens qui galèrent aussi depuis longtemps sur le sol national, précise Michel Delonin, secrétaire de l'association Roxette, pour qui blues et rock n'ont pas de secrets ! Cinq groupes répondent présent à la généreuse invitation (on aurait sans doute pu en trouver d'avantage, mais la soirée se serait alors étirée sans fin).
« Attention, d'autres initiatives de ce genre peuvent être menées à bien par n'importe quel autre organisateur. Nous n'avons pas le monopole du cœur », ajoute Michel, s'appuyant sur une célèbre apostrophe !
Parmi les groupes au cœur sur la main, on trouve Zografi, qui a le nom le plus poétique. Il s'agit en vérité du nom du clochard céleste des romans de Panaït Istrati. Avec Cyrille Auchapt et ses amis, c'est les musiques des Balkans, de Turquie et d'ailleurs. Homme aussi des grands espaces, Christian Kibongui apportera sa voix et ses percussions pour la bonne cause. La soirée n'est pas prévue pour être larmoyante, notamment avec deux groupes dont le ska super-festif pourrait dérider un cimetière Skawax et Tayazabeu. Enfin, les rois du pub rock énergique, les Sharpers, feront vibrer la fête, comme d'hab' !
Les places sont à 10 €, mais on peut donner plus. D'autant que 60 % de la somme versée sera déductible des impôts… Au niveau intendance, Bégon, avec ses maîtres du son et des éclairages, travaille aussi à l'œil. Les membres de Roxette apporteront de quoi se restaurer légèrement – forts du soutien de certains sponsors – sachant que le bar avec restauration simple de la maison de quartier sera également ouvert. Une ultime réunion de préparation – dont nous rendrons compte – est prévue le 3 novembre au soir. On saura notamment vers quelles associations iront les fonds collectés, en toute transparence.

Alain Vildart

Châlette-sur-Loing.

Toujours plus haut, toujours plus pro. En quatre éditions, le Label Tremp s’est érigé comme un moment fort de la saison musicale locale.

Qu'il semble loin le temps où une centaine de curieux se réunissaient dans l'antique Maison des arts de Châlette, pour la première soirée du Label Tremp, en 2012 ! Quatre ans ont passé, une éternité au regard du chemin parcouru. Samedi, pour la finale 2015, l'organisation, soutenue par la radio châlettoise C2L, avait fait plus que mettre les petits plats dans les grands : studio de radio délocalisé, introduction tonitruante, retransmission sur grand écran dans le hall. Et public survolté. 350 personnes sont venues au Hangar assister au triomphe du groupe Skawax : huit jeunes musiciens débarqués de Blois, complices, enthousiastes, talentueux même si encore perfectibles. De quoi surpasser dans les coeurs les prestations convaincantes de Casse Tête, dans un registre chanson française et surtout The Viewers, armés de leur disco-punk entêtant.

Mais à travers le triomphe de la troupe blésoise, c'est la « patte » Label Tremp qui s'affirme de plus en plus. « On est devenu un des gros tremplins de la région », se réjouit Didier Roquet, le président de l'association Label Tremp. « Désormais, des festivals de l'extérieur nous appellent pour avoir notre avis sur certains groupes ».

Connu du public local, le Label Tremp l'est de plus en plus des professionnels du milieu artistique. Alors que le partenariat avec Musikair, initié en 2014, ne demande qu'à prendre son essor, l'organisation a été rejointe depuis quelques mois par le producteur Jean-Philippe Lajus. Le Montargois d'adoption s'est installé avec bonheur derrière la console de mixage. « Le Label Tremp me rappelle que la pratique "amateur" de la musique est le point de départ de toutes les belles aventures, qu'elles deviennent professionnelles ou non ! », a-t-il réagi le lendemain.

Autre collaboration marquante, depuis peu, avec la Fédération régionale des acteurs culturels et associatifs des musiques actuelles (Fraca-Ma), qui devrait aider le tremplin à développer les groupes découverts à chaque édition. Et à en dénicher d'autres : « Ils ont répertorié 2.000 groupes dans la région Centre, c'est un potentiel énorme », s'enthousiasme Didier Roquet. Et si l'aventure ne faisait que commencer ?

Jean-Baptiste Dos Ramos

Le groupe Skawax, favori de cette édition après avoir fait forte impression lors des sélection, a remporté, hier soir, la quatrième édition du Label Tremp. Son ska-punk a mis d'accord tout le monde, même si les deux autres finalistes, The Viewers et Casse Tête, n'ont vraiment pas démérité. Mais les Blésois ont remporté à la fois l'adhésion des 350 spectateurs du Hangar de Châlette et le vote du jury composé de professionnels de la musique et de la culture.

Jean-Baptiste Dos Ramos

Shaka Ponk est la tête d’affiche d’Yzeures’n’rock demain samedi. Un beau cadeau pour le 10 e anniversaire de ce festival, qui grandit chaque année.

Le rêve d'Yzeures'n'rock est de capter des artistes comme Shaka ponk ou C2C. C'est que nous écrivions il y a un an dans nos colonnes pour présenter la 9e édition de ce festival. Ce rêve devient réalité, avec Shaka Ponk, qui va enflammer la scène d'Yzeures'n'rock samedi.
Comme le disent les organisateurs dans leur dossier de presse, « Il fallait du lourd pour célébrer dignement les 10 ans ».
La sensation Shaka Ponk souffle depuis des années sur la scène rock française et sera le rendez-vous à ne pas manquer de ce festival qui grossit chaque année. Combien de festivaliers pour cette édition prometteuse qui débute ce soir ? Ils étaient 6.000 en 2013, 8.500 l'an passé. La programmation est suffisamment éclectique pour attirer un public nombreux. Les reggaemen américains de Groundation sont aussi de la fête, mais aussi « des figures » du reggae et du dub tels que Le Peuple de l'herbe, High Tone, Broussaï, Yanis Odua. Yzeures n'rock fait aussi la part belle aux groupes de la région en devenir tels que Manston, Skawax, Aldawa… Dix concerts en deux jours, faites votre choix.
Xavier Roche-Bayard

Le groupe Skawax a profité du week-end prolongé du 14 juillet pour entrer en résidence à Saint-Gervais-la-Forêt, commune où il a vu le jour. Cette résidence a permis de répéter le programme, rechercher de nouveaux arrangements, travailler dans les détails des séquences spécifiques, peaufiner les jeux de scènes… un travail approfondi qui s'ajoute aux répétitions qui ont eu lieu chaque semaine au studio Pôle nord de Blois. La notoriété grandissante de Skawax est sans aucun doute due au style musical mélangeant le ska, le reggae et le rock festif, des textes en français, engagés, des refrains entraînants, portés par la puissance des cuivres.

Cette énergie dégagée a amené le groupe à jouer sur une trentaine de scènes de la région Centre et une à Paris, cela en seulement deux ans d'existence. Après avoir joué à la Guinguette de Blois et au V'n B, pour leurs deux ans d'ouverture, le groupe se produira le 31 juillet à Yzeure-sur Creuse, dans le cadre des dix ans du festival Yzeure'n rock.
D'autres concerts sont attendus puisque Skawax figure dans le catalogue Festillésime 41 du conseil départemental. Les fans pourront prolonger le plaisir, à domicile, en écoutant leur deuxième album dont la sortie est prévue à la fin de l'été.

Les Blésois de Skawax (finalistes du dernier Tremplin du Moulin) sont de retour à Romorantin. Rendez-vous, rue Clemenceau, à 19 heures.

A Romorantin. Dès 16 h, la musique sera partout (le comité des fêtes tiendra un pôle restauration sur la place de Paix). Pas moins d'une trentaine de groupes joueront. On pourra écouter du jazz devant l'église Saint-Etienne et le bar La Sologne dès 17 h 30 avec Destock Jazz. De la variété française avec Claude Fudala au Saint-Jean dès 20 heures. Du rock avec les Nostalgic's, dès 19 h, rue Clemenceau ou avec les Daltons, groupe de Romorantin, place de la Paix. Du ska et du rock festif avec Skawak, rue Clemenceau également. Des musiques traditionnelles avec les membres de la Maison du Portugal qui déambuleront dans toute la ville. De la musique classique à l'école de musique, du Faubourg-d'Orléans. Et même du reggae-dub avec Dream Team, qui s'installera derrière ha Halle dès 19 heures. Bref, il y en aura pour tous les goûts !

Loir-et-Cher chissay-en-touraine

Depuis le début, j'ai cette idée en tête, créer un festival. Mais jusqu'ici on n'avait pas les finances, les moyens. Mais, cette fois, c'est parti. Exit soirée The Good Feeling, vive Dawouah ! rit Raphaël Lévêque, président du comité d'animation de Chissay-en-Touraine. Derrière lui, une vingtaine de bénévoles fortement motivés s'est mise au travail. Ils ont planché sur la programmation avec le souci de charmer tous les publics et faire bouger tout le monde ! Du rock toutes générations, du reggae, du ska… Huit groupes et six heures de musique non-stop !

Sur le site un village artisanal mélangeant terroir et art, buvette, restauration… Pour marquer l'événement des verres au nom du festival seront en vente. « C'est l'aboutissement de tout ce qu'on a tenté jusqu'ici. Tout est financé sur nos fonds propres récoltés au hasard des animations que nous avons organisé depuis quelques années. Ça fait plusieurs mois qu'on prépare, mais on y prend toujours autant de plaisir et encore plus pour ce festival. Nous avons la chance d'avoir dans l'équipe Luc, un pro de l'éclairage qui a travaillé pour le théâtre, les concerts, Cyprien pour le son et des bricoleurs qui vont monter la scène de 8 m sur 5 qui pourra être couverte si besoin, tout comme des barnums qui abriteront les stands. Mais si Dame Nature pouvait être de notre côté ce serait bien pour que la fête soit totale ! ».
Les festivaliers qui voudraient rester sur place un espace camping gratuit est prévu

La deuxième soirée de sélection Label tremp, organisée par la radio C2L, se déroule aujourd'hui à partir de 20 h 30 au Hangar de Chalette. Quatre groupes seront en lice pour cette soirée de concerts.

Plato est un groupe loirétain né en 2013 qui comprend quatre musiciens, avec des compositions oscillant entre pop sixties, rock progressif et punk. Dans leurs textes, il est question de musique, d'imaginaire, de trahison, de beauté, de folie.

Doll is mine est un duo rock, formé à l'été 2012 après la rencontre de deux musiciens passionnés et curieux de toutes les musiques : Luis Karoll au chant et à la batterie et Victor Jorge à la guitare électrique et au chant. Dans leur univers sonore se côtoient des artistes aussi variés que Beck, Sonic Youth, Blonde Redhead, The Do, Nirvana…

FMR est un groupe orléanais d'electro trad rock comprenant quatre musiciens. Cette formation surprend par des musiques traditionnelles de la cornemuse et du chant sur des ambiances rock électro.

Skawax est un groupe formé en juillet 2013 au cours du festival des courants à Amboise. D'horizons et d'âges différents, les musiciens ont des influences multiples : alborosie, dub.inc pour la partie reggae, jusqu'au ska plus péchu. Leur style penche ainsi vers le ska, le rock festif et le reggae. Quant aux textes, ils sont engagés avec des refrains entraînants.

L'entrée est gratuite avec possibilité de se restaurer sur place. Pour plus d'informations, rendez-vous sur le site internet http:\\www.labeltremp.fr

La finale du Tremplin du Moulin se déroulait, samedi, à la MJC de Romorantin. Elle a vu la victoire de Tarsius. J’ai fait partie du jury, je vous raconte.

 Installée comme les quelque soixante autres spectateurs dans la salle de la MJC, je vois d'abord débarquer sur scène un nombre impressionnant de musiciens ! Ils sont huit et ont visiblement bien préparé leur entrée en piste. Avec les Blésois de Skawax, la soirée commence fort. « Romo s'endort ? », interroge le chanteur Alex Thigé. Avec eux, impossible ! Leur énergie est communicative.

Vingt-cinq minutes (c'est la durée des sets imposée aux groupes) et un changement de scène plus tard, le duo Vous instaure une ambiance tout autre. Plus sombre, mais avec des textes déclamés autant que chantés magnifiques.
Tarsius entre enfin en scène. Le chanteur, Yannick Walet annonce la couleur en présentant ses camarades de jeu : « Ne vous fiez pas aux apparences, ces hommes autour de moi sont tous des bonobos ! Bienvenue dans la jungle électrique. »Avec leur musique entraînante et leurs textes, tantôt en anglais, tantôt en français, les Tarsius ne manquent pas d'originalité.
C'est l'un des aspects que je dois évaluer (sur cinq), je dois aussi noter (sur cinq toujours) la qualité technique et la prestation scénique. Pour moi Tarsius mérite un cinq sur cinq en originalité. La note grimpe surtout que je peux donner un « coup de cœur » de trois points.
Quand nous nous retrouvons à l'étage avec les autres membres du jury, on fait « les totaux », chacun annonçant ses notes. On échange aussi. Beaucoup saluent l'évolution du groupe Skawax, qui participait déjà au Tremplin l'an dernier. Le duo « Vous » a « fasciné » plusieurs membres du jury, en a « lassé » un autre. Tarsius fait davantage l'unanimité même si un membre du jury déplore : « C'est dommage, on ne comprend pas tout ce qu'il dit. »
« On sent en tout cas, qu'ils ont plus de métier », ajoute un professeur de musique (ils sont plusieurs à faire partie du jury). Une dizaine de minutes plus tard, nous redescendons parmi le public et les groupes, attendant impatiemment les résultats. Ils sont annoncés par la directrice de la MJC, Martine Guellier. Tarsius l'emporte et les deux autres groupes se tiennent « dans un mouchoir de poche. »

Ce samedi, le jury était composé par : Touria Dehmej (présidente de la MJC et conseillère municipale), Christian Monne (directeur de l'école de musique), Karl Vandenbussche (professeur de clavier et de saxophone à Cap Music), Philip Garnier (sonorisateur professionnel), Julien Nourtier (professeur de batterie), Sylvain Janiak (professeur de guitare), Thomas Olympie (trésorier de la MJC), David Belkhouni (guitariste), Louis Gosseaume (surveillant au lycée et musicien), Louis Baillet (lycéen et musicien).

Valérie Pernette

Skawax en route vers la finale du Tremplin
 

Le coup d'envoi de la 10e édition du Tremplin du Moulin a retenti samedi soir dans les murs de la MJC. Sur scène, c'est l'énergique Lachachouve, groupe du Cher, qui a ouvert le bal entre rock-punk et reprise de Bénabar. Une affichette de soutien à Charlie en étendard, il improvise quelques paroles pour la liberté d'expression, provoque la salle, survolté. Vingt-cinq minutes plus tard, changement de décor, d'ambiance, de son. C'est au tour des Ailes au Nord, pour chanter l'amour, la rencontre, la vie de couple, la question des enfants… La salle s'assoit et se laisse alors porter par l'alto, la guitare et les mélodies des deux chanteurs venus du Loiret. Fool System et son rock français indé a poursuivi la soirée à bon rythme, avant de céder la place à Skawax, le local de l'étape qui repiquait le Tremplin du Moulin pour la seconde année. Les 8 Blésois de Skawax ont bien fait, puisqu'ils ont convaincu le jury. Et remporté, à coups de ska, de rock festif et de reggae, sur fond de cuivres, trompettes et autres saxophones, leur ticket pour la finale du Tremplin du samedi 14 février prochain.

C'est dans une salle surchauffée que le groupe local SKAWAX et son chanteur Alex sont intervenus avec un mélange de ska et rock festif cuivré comportant des accents reggae et un texte en français. Ce programme éclectique a conquis le public. "Après un an d'existence nous avons déjà sorti notre premier album" souligne Nicolas, membre du groupe SKAWAX et maître d'oeuvre de ce spectacle, existant depuis cinq ans, qui prend de plus en plus d'ampleur.

Saint-Gervais la Forêt

« power trio » stoner de Blois ; Skawax, mélange de ska et rock festif cuivré avec des accents reggae. Programme éclectique en mesure de conquérir un public de 7 à 77 ans. Prix d'entrée : 2 euros

tranquillité, ce qui fut le cas. Les amateurs de rock ont été comblés, avec cinq groupes et cinq styles. « C'est par relation d'un groupe à un autre, on a rencontré Skawax sur le tremplin des Kampagn'arts..

;Teddy Savic » et son talent d'écriture. Puis ce sera neuf musiciens sur ressort avec « le Skawax » qui passe sans hésitation du ska au reggae, et enfin « Ryal Selah » (qui avait fait..

La Fête de la musique trois jours de fiesta !

Rendez-vous brésilienne, Skawax (ska-rock) place Ave Maria. - Chaumont-sur-Tharonne, à 15 h, rassemblement de cox et dérivés (Volkswagen). Possibilité de camper. - Cour-Cherny, à partir de 19 h, place de la mairie et..

Le FestiMAS, ça marche !

boigny. Succès de la deuxième édition du FestiMAS à la Maison d'accueil spécialisée (MAS) de Boigny-sur-Bionne. Durant deux jours, ce week-end, les résidents ont assisté aux spectacles des deux groupes locaux : Blanajo, composé de trois salariés du MAS, et de Vengeur démasqué, ainsi que Skawax et Coda, avec les membres de leur famille et le personnel.

Samedi, Wabam Festival au château de Taillé

par Assad et Skawax. La soirée se clôturera à 2 h avec La Jambe De Frida et SApiEnS saPieNs. Samedi 31 mai, 54, rue de Morienne, château de Taillé, Fondettes.

Dialogues à gauche : un forum participatif

Cette entrée en matière politique, de 17 h à 20 h, laissera ensuite la place à un prolongement plus festif avec le concert de Skawax (qui..

Le programme du Téléthon est élaboré

La Banda interviendra à 17 h, avant le repas tartiflette, prévu à partir de 18 h 30, et proposé par l'amicale du personnel, avec animation musicale par le DJ François Peroux et intervention du groupe local Skawax.  Dimanche 8 décembre devant l'Espace Jean-Claude Deret

Une Fête des voisins à contretemps

Saint-gervais-la-forêt
gâteau, le groupe Skawax, composé de jeunes de Saint-Gervais-la-Forêt et des alentours, a gratifié l'assistance d'un échantillon de leurs compositions : textes engagés, musique digne des pionniers du ska